Selon la narration ressassée par les médias occidentaux, la guerre de Syrie aurait opposé une rébellion assoiffée de libertés démocratiques à un État autoritaire porté à bout de bras par ses alliés. Pour les faux naïfs, une héroïque « révolution syrienne » se serait même dressée contre un pouvoir cl...
Tels des dominos, les États africains tombent l’un après l’autre libérant leurs populations des chaînes du néocolonialisme. Le Tchad, la Guinée, le Mali, le Burkina Faso, le Niger et maintenant le Gabon disent « non » à la domination de longue date de la France sur les affaires financières, politiques, économiques et sécuritaires de l’Afrique.
Avant d’être renversé par un coup d’État militaire, le président gabonais Ali Bongo, désespérément corrompu, était courtisé par Obama et célébré de Washington à Davos. La guerre des États-Unis contre la Libye, qui a déstabilisé la région, n’aurait peut-être pas réussi sans lui.
Le président chinois Xi Jinping a qualifié d’« historiques » toutes les décisions majeures prises lors du 15e sommet des BRICS en Afrique du Sud. On pourrait même considérer cela comme un euphémisme.
Depuis le renversement du gouvernement du Niger favorable aux États-Unis, les nations ouest-africaines du bloc de la CEDEAO ont menacé d’envahir leur voisin.
Avant de mener la charge pour une intervention, le président de la CEDEAO, Bola Tinubu, a passé des années à blanchir des millions pour des trafiquants d’héroïne à Chi-Town,1 et a depuis été pris dans de nombreux scandales de corruption.
L’échiquier géopolitique est en perpétuel mouvement — et jamais autant que dans la conjoncture incandescente que nous vivons.
Dans le cadre d’une enquête inédite, l’anthropologue de renom Orisanmi Burton a levé le voile sur un chapitre sombre de l’histoire de la CIA. Des dossiers classifiés de l’Agence, récemment obtenus grâce aux lois sur la liberté d’information, révèlent des liens choquants entre l’infâme programme MK-Ultra et des expériences cauchemardesques menées sur des prisonniers de couleur aux États-Unis.
Des dossiers britanniques récemment déclassifiés jettent une lumière troublante sur les origines et le fonctionnement interne de l’opération Gladio, un complot de l’OTAN déployant des milices terroristes fascistes à travers l’Italie. Les espions de Londres ont-ils appliqué leur expérience à l’Ukraine ?
La police antiterroriste britannique a arrêté le journaliste Kit Klarenberg à son arrivée à l’aéroport de Luton, à Londres, et l’a soumis à un long interrogatoire sur ses opinions politiques et ses reportages pour The Grayzone.
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