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En dehors de la boîte

Sortir de l’univers du discours clos !

 
Par Max Blumenthal
Une publication The Grayzone

Cochav Elkayam-Levy, l’avocate israélienne au centre de la campagne accusant le Hamas de violences sexuelles systématiques le 7 octobre, est maintenant elle-même accusée par les médias israéliens d’escroquer les donateurs et de diffuser de fausses informations. Les allégations sont apparues quelques jours seulement après qu’Elkayam-Levy a reçu le prestigieux prix Israël.

Par Wyatt Reed
Une publication The Grayzone

Les médias occidentaux ont présenté un rapport de l’ONU comme la preuve que le Hamas avait agressé sexuellement des Israéliennes. Pourtant, les auteurs du document ont admis qu’ils n’avaient pas pu localiser une seule victime, ont suggéré que les responsables israéliens avaient mis en scène un viol et ont dénoncé des « interprétations médico-légales inexactes ».

Par Max Blumenthal
Une publication The Grayzone

The Grayzone a obtenu les slides d’une présentation confidentielle du lobby israélien basée sur les données du sondeur d’opinion républicain, Frank Luntz. Les documents contiennent des sujets de discussion pour les politiciens et les personnalités publiques qui cherchent à justifier l’assaut d’Israël sur la bande de Gaza.

Par Max Blumenthal
Une publication The Grayzone

Le contenu du document de l’Association des centres d’aide aux victimes de viols en Israël, qui prétend que les viols du Hamas sont « systématiques », provient en grande partie de témoignages de seconde main discrédités et d’articles de presse débunkés. Parmi les sources les plus citées, figure un article douteux du New York Times qui a déclenché une révolte au sein même du journal, de la part de son personnel.

Par Wyatt Reed
Une publication The Grayzone

Le journaliste à l’origine d’une enquête discréditée du New York Times, qui prétendait que le Hamas se livrait à des violences sexuelles systématiques le 7 octobre, apparaîtra aux côtés d’Hillary Clinton et des principaux responsables de la politique étrangère de Joe Biden, lors d’un événement organisé à l’université de Columbia pour justifier l’assaut d’Israël sur Gaza.

Dans une attaque remplie de contre-vérités, Elizabeth Dwoskin du Washington Post, ardemment pro-israélienne, a dénigré le reportage factuel de The Grayzone en s’appuyant sur des « recherches » effectuées par un organisme infesté de barbouzes et étroitement lié à l’Anti-Defamation League.

Elizabeth Dwoskin s’est également appuyée sur un ancien des forces spéciales israéliennes à la tête d’une campagne « Dôme de fer numérique » visant à censurer les critiques formulées sur les réseaux sociaux à l’encontre de l’assaut israélien contre Gaza.

Par Wyatt Reed et Max Blumenthal
Une publication The Grayzone

Une mère israélienne indignée a déclenché un tollé après avoir accusé l’armée israélienne d’avoir délibérément gazé son fils à mort alors qu’il était détenu dans un tunnel de Gaza. Elle affirme aujourd’hui que l’armée a fait enlever la pierre tombale de son fils après que son message critique est devenu viral.

Son meurtre fait suite à une série d’attaques de l’armée contre des captifs israéliens à Gaza, ce qui soulève des questions quant à l’existence d’une politique de tirs amis visant à empêcher les échanges de prisonniers.

Par Max Blumenthal et Aaron Maté
Une publication The Grayzone

En première page, le New York Times allègue qu’« un schéma plus large de violence à caractère sexiste le 7 octobre » a été mis en pratique par le Hamas. The Grayzone passe au crible l’article pour le réfuter point par point, puis demande des réponses au quotidien pour sa faute professionnelle en matière de journalisme.

Par Wyatt Reed
Une publication The Grayzone

Une note expliquant la rétractation de l’affirmation selon laquelle les militants du Hamas avaient des ordres précis quant à « quel commandant devait violer quelle soldate » indique que la publication s’est censurée à la demande du gouvernement israélien.

Par Max Blumenthal
Une publication The Grayzone

Fondé par un violeur en série connu comme le « Jeffrey Epstein haredi », le groupe de sauvetage ultra-orthodoxe israélien ZAKA est responsable de certaines des histoires inventées d’atrocités les plus obscènes après le 7 octobre — des bébés décapités aux « viols de masse », en passant par un fœtus découpé du ventre de sa mère.

Le secrétaire d’État Antony Blinken et le président Joseph Biden se sont tous deux fait l’écho de témoignages de ZAKA, manifestement faux, sur des atrocités qui auraient été commises par le Hamas.

Entaché par des allégations de fraude financière, ZAKA profite de la publicité du 7 octobre pour collecter des sommes d’argent sans précédent.

Sa rivale, l’organisation United Hatzalah, a raconté elle aussi de fausses histoires, celles de bébés cuits dans des fours, alors qu’elle se rapproche d’un objectif de collecte de fonds de 50 millions de dollars.

 
 
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