Dans toute l’Europe, le populisme d’extrême droite est en plein essor. Des partis de droite aux racines néofascistes font partie de coalitions gouvernementales ou augmentent leur nombre de sièges parlementaires. Pourtant, les craintes d’une montée de l’antisémitisme en Europe n’ont pas empêché Israël de s’engager auprès des extrémistes européens — une politique de l’État avant même sa création.
Des dossiers britanniques récemment déclassifiés jettent une lumière troublante sur les origines et le fonctionnement interne de l’opération Gladio, un complot de l’OTAN déployant des milices terroristes fascistes à travers l’Italie. Les espions de Londres ont-ils appliqué leur expérience à l’Ukraine ?
L’arrestation de deux néonazis français lourdement armés revenant d’Ukraine met en lumière un problème imminent pour les pays de l’OTAN qui soutiennent la guerre par procuration ; elle met également en évidence la conspiration du silence de ces États sur la nature de la menace.
Une vaste opération de police a permis de déjouer les plans des extrémistes visant à renverser le gouvernement allemand. Mais, le moment choisi pour le complot et son absurdité ont soulevé des questions sur le rôle de la sûreté de l’État dans la mise en place de ce projet — un phénomène souvent observé dans le passé en Allemagne.
Les titans du capitalisme mondial exploitent la crise du Covid-19 pour instituer des systèmes d’identification numérique de type crédit social dans tout l’Occident.
Message publié le 25 juin 2019 sur Facebook par le Collettivo Autonomo Lavoratori Portuali [Collectif Indépendant des Dockers] de Gênes (Italie) quelques heures avant que le Sea-Watch 3, navire battant pavillon néerlandais et transportant 42 migrants, force le blocus au large de Lampedusa.
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