Après que le Hamas a lancé une attaque-surprise contre Israël, l’armée israélienne a répondu par des frappes aériennes, rasant des bâtiments gazaouis. Jusqu’à présent, les violences ont coûté la vie à plus de 2 500 personnes. Les médias occidentaux, cependant, montrent beaucoup plus d’intérêt et de sympathie pour les morts israéliens que pour les morts palestiniens et ont joué leur rôle habituel de porte-parole officieux de l’Armée de défense d’Israël (Israel Defense Forces / IDF).
« La censure est le dernier recours des régimes désespérés et impopulaires. Elle apparaît comme par magie pour faire disparaître une crise. Elle réconforte les puissants avec le récit qu’ils veulent entendre, un récit qui leur est renvoyé par les courtisans des médias, des agences gouvernementales, des groupes de réflexion et des universités. » — Chris Hedges
Comme le montre la victoire électorale de Gabriel Boric, un nouvel espoir pourrait naître à travers l’Amérique latine. Pour le gouvernement des États-Unis et son allié israélien, ce n’est pas une bonne nouvelle.
Alors que l’OTF se présente comme un organisme indépendant de défense de la liberté sur Internet, son financement, son personnel, son histoire et le choix de ses cibles permettent de conclure qu’elle est une arme numérique utilisée contre les ennemis de Washington.
En passant au crible plus de 30 000 subventions dans la base de données de la société, MintPress peut révéler que la Fondation Gates a financé des centaines de médias et d’entreprises, pour un montant d’au moins 319 millions de dollars US.
Un accord tacite semble avoir été passé entre le gouvernement et Facebook : vous pouvez garder les bénéfices, mais nous contrôlons le message. En tant que telle, une personne à l’esprit chagrin pourrait se demander quelle différence fonctionnelle il y a entre Facebook et l’État de sécurité nationale.
La question du succès de l’action à venir contre le gouvernement cubain reste ouverte. Mais l’identité de ceux qui sont derrière les manifestations ne fait guère de doute.
La principale raison pour laquelle le gouvernement des États-Unis s’oppose à l’administration Loukachenko n’est pas son autoritarisme, aussi réel soit-il. Les principales objections de Washington sont plutôt le refus obstiné de Loukachenko de privatiser les biens de l’État, d’adhérer à l’OTAN ou d’ouvrir le pays à l’exploitation étrangère.
L’implication de ressortissants étrangers dans les affaires intérieures de Cuba est à un niveau qui peut être difficilement concevable aux États-Unis.
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