L’objectif suprême est le changement de régime en Russie. L’Ukraine n’est qu’un pion dans le jeu — ou pire, juste de la chair à canon.
Ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas. Lorsqu’ils ont déployé les tentacules de l’OTAN jusqu’aux portes de la Russie, les dirigeants occidentaux n’ignoraient pas qu’ils jouaient avec le feu. Ils savaient pertinemment qu’ils se comportaient en apprentis sorciers, prenant le risque d’un embr...
Dan Cohen révèle le réseau de stratèges étrangers, de lobbyistes de Washington DC et de médias liés aux services de renseignement qui se cachent derrière le blitz de relations publiques pour l’Ukraine.
Les États de l’OTAN déversent des armes en Ukraine pour attiser la violence et créer un nouvel Afghanistan au cœur de l’Europe.
En suscitant l’indignation de l’opinion publique occidentale à l’égard des supposés crimes de guerre russes, le gouvernement ukrainien vise clairement à générer une pression suffisante pour surmonter la réticence de l’administration Biden à affronter directement l’armée russe.
Israël et son lobby dépendent du soutien des États-Unis. Ainsi, lorsque Washington entre en guerre, le lobby offre souvent ses services de propagande à la cause.
Le gros mensonge des États-Unis repose sur la thèse d’une agression russe non provoquée.
L’« ordre international fondé sur des règles » — comme dans « imposer sa volonté par l’intimidation »1 — s’effiloche beaucoup plus rapidement que quiconque aurait pu le prévoir.
Human Rights Watch et Amnesty International prétendent être indépendantes, mais elles entretiennent des liens étroits avec le gouvernement des États-Unis et servent ses intérêts en matière de politique étrangère, grâce au financement de fondations liées à la CIA et d’oligarques milliardaires.
Le 2 février, Arnaud Bertrand, militant de la cause chinoise, a révélé que WEghur Stories, un podcast « œuvrant à la création d’une conversation au sein et au sujet de la diaspora ouïghoure mondiale », qui a fait l’objet d’une campagne intensive sur Facebook et Spotify, est financé par la mission diplomatique française de Washington — et que John Bair, son co-créateur, co-animateur et producteur, est un ancien agent de la CIA.
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