Traduit de l’anglais par EDB () • Langue originale : anglais |
S’il était possible d’affirmer avec une autorité scientifique absolue que les vaccins sont le meilleur moyen pour la planète d’échapper à l’emprise de la mort par Covid-19, il pourrait alors sembler concevable — bien que toujours très discutable — que les gouvernements exigent la preuve du « marquage » pour participer à l’économie mondiale. Dans l’état actuel des choses, cependant, rien n’indique à ce jour qu’il n’existe pas de moyens plus efficaces et plus fiables d’aller de l’avant.
La pression incessante exercée par les autoritaires opportunistes du monde entier en faveur des passeports vaccinaux1 a pris un coup cette semaine lorsque des chercheurs israéliens ont découvert ce que beaucoup soupçonnaient depuis le début : l’immunité naturelle acquise par l’infection, par opposition aux vaccinations, constitue la meilleure défense contre le Covid-19 et sa gamme apparemment infinie de variants codés en grec.
L’étude, qui a porté sur 32 000 personnes, a révélé que le risque de développer le Covid-19 était 27 fois plus élevé chez les personnes vaccinées (avec le vaccin Pfizer et BioNTech), et le risque d’hospitalisation 8 fois plus élevé, par rapport aux personnes ayant acquis une immunité naturelle.
Tout aussi choquant, les personnes qui ont reçu deux doses du vaccin Pfizer-BioNTech étaient presque 6 fois plus susceptibles de contracter le variant Delta et 7 fois plus susceptibles de présenter des symptômes de la maladie que celles qui se sont rétablies naturellement, selon l’étude, qui est disponible pour un examen par les pairs.
« Cette analyse a démontré que l’immunité naturelle offre une protection plus durable et plus forte contre l’infection, la maladie symptomatique et l’hospitalisation due au variant Delta », ont déclaré les chercheurs.
Alors, quelles raisons reste-t-il pour imposer le passeport vaccinal aux gens ? La réponse simple semble être « aucune ». À titre d’exemple, imaginons qu’un nouveau mode de transport radical encore en phase de test — peut-être une invention de l’esprit excentrique d’Elon Musk, par exemple — ait plus de chances que la moyenne d’exploser sans raison apparente.
Dans des conditions aussi sombres, il est peu probable que les gouvernements contraignent leurs citoyens à conduire un véhicule aussi défectueux, car le produit lui-même serait jugé trop dangereux pour être commercialisé. Alors pourquoi la même logique n’est-elle pas appliquée quand on est contraint de porter un passeport vaccinal pour un vaccin qui a également démontré qu’il était au mieux douteux, au pire désastreux ?
L’efficacité du vaccin Pfizer dans le traitement de la souche Delta a été évaluée à 42 % seulement, voire à 17 % dans certains cas. Dans le même temps, des milliers de personnes, par ailleurs en bonne santé, ont subi d’horribles effets secondaires, pouvant aller jusqu’à la mort, après avoir reçu ces vaccins.
Le journaliste australien Denham Hitchcock fait partie des milliers de personnes qui ont eu beaucoup plus que ce à quoi elles s’attendaient lorsqu’elles se sont fait vacciner.
« La première semaine était comme n’importe quel vaccin. Je ne me sentais pas bien », a écrit Hitchcock sur sa page Instagram.
« Mais vers la fin de la deuxième semaine, mon cœur a commencé à s’emballer, j’avais des picotements dans les bras, une fatigue extrême et une sensation très étrange de vertige […] À la fin de la troisième semaine, mon état s’aggravait régulièrement — douleurs aiguës dans la poitrine — frissons et tremblements — et le vertige était intense.
25 jours après la piqûre et probablement un peu tard à l’hôpital — mais me voici — diagnostiqué avec une péricardite — ou une inflammation du cœur due au vaccin Pfizer. »
Depuis qu’il est à l’hôpital, Hitchcock dit avoir contacté des professionnels de la santé à Sydney qui lui ont dit que si sa réaction au vaccin est rare, elle n’est certainement pas isolée.
« Un hôpital a connu plus d’une douzaine de cas comme le mien », a-t-il révélé.
Entre-temps, un coroner a déterminé cette semaine que le décès de Lisa Shaw, qui travaillait pour BBC Radio Newcastle et qui est décédée en mai, était « dû aux complications d’un vaccin anti-Covid AstraZeneca ».
Et au cas où quelqu’un penserait que Moderna est exempt de problèmes, le Japon a retiré cette semaine environ 1,6 million de flacons du vaccin après qu’une contamination a été signalée par le ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales. Même si de telles choses arrivent parfois, le ministère a révélé que la substance trouvée dans les flacons « a réagi aux aimants et […] pourrait être du métal ».
Moderna a suggéré que le problème pourrait provenir d’un « incident de fabrication » survenu dans une usine en Espagne.
« La société enquête sur les rapports et demeure engagée à travailler de manière transparente et réactive avec son partenaire, Takeda, et les régulateurs pour répondre à toute préoccupation potentielle », a déclaré un porte-parole de Moderna à Nikkei, précisant que le fabricant de médicaments pensait qu’un « incident de fabrication » dans une usine en Espagne était à blâmer.
Par ailleurs, l’inventeur des vaccins à ARNm, le Dr Robert Malone, qui pourrait fournir aux gouvernements les conseils dont ils ont tant besoin pendant la pandémie, a été largement écarté de la bonne société par les talibans de la médecine de l’hémisphère occidental, le considérant comme un théoricien du complot qui répand de la « désinformation ».
Pour en revenir à Pfizer, ses performances médiocres n’ont apparemment guère d’importance pour les autorités de réglementation, puisque le fabricant vient d’obtenir l’approbation de la Food & Drug Administration (FDA) pour administrer son vaccin, qui sera distribué sous la marque Comirnaty. La pression va certainement s’accentuer à l’encontre de ceux qui ont des doutes à propos du jus magique, car de nombreuses institutions publiques et privées — des écoles aux lieux de travail en passant par les agences gouvernementales — font pression pour rendre le vaccin obligatoire. Cela concernerait notamment le groupe démographique le plus jeune et le plus vulnérable de la société, les enfants.
Le Premier ministre britannique Boris Johnson, par exemple, fait pression sur le Service national de santé pour qu’il commence à vacciner les enfants dès l’âge de 12 ans, et ce malgré le fait que les jeunes ont montré une étonnante résistance au virus. Le Royaume-Uni semble prêt à rejoindre les États-Unis, l’Espagne, la France et l’Allemagne parmi les pays où l’inoculation des jeunes devient rapidement une procédure opérationnelle standard, sans aucun débat démocratique.
Il ne faut cependant pas croire que les choses reviendront à la normale une fois que tout le monde aura retroussé ses manches pour se faire vacciner. Après tout, ces « vaccins » n’empêchent pas les gens d’être infectés par le Covid, et, comme des études l’ont montré, ils peuvent même précipiter l’infection. Cette lacune choquante des vaccins, loin d’en écarter l’utilisation au profit d’autres mesures préventives, a permis aux fabricants de distribuer une quantité infinie de rappels, comme cela a été joyeusement discuté lors d’une récente réunion des actionnaires de Pfizer.
Albert Bourla, président du conseil d’administration et PDG de Pfizer, a fait remarquer que « la dynamique du COVID indique de plus en plus que nous pourrions avoir une activité clairement répétée […] À ce jour, nous ne disposons toujours pas de données sur l'immunité de notre vaccin, car il est encore trop tôt. Mais nous constatons que de plus en plus de publications indiquent que la réponse immunitaire des personnes atteintes de la maladie diminue après plusieurs mois. Il est donc nécessaire de la renforcer ». Ces propos vertigineux ont été tenus en février dernier, avant que le vaccin Pfizer n’ait obtenu l’approbation de la FDA.
En d’autres termes, il n’y a pas de limite pour Big Pharma en ce qui concerne les profits tirés de la vaccination. Et malgré les risques inhérents à celle-ci, l’assemblée de petits tyrans du monde occidental — des dirigeants à la vision courte comme le président français Emmanuel Macron, le Premier ministre canadien Justin Trudeau et le président étatsunien Joe Biden — fait avancer les projets de passeports vaccinaux.
Une telle initiative, qui va à l’encontre des libertés, prive les individus du droit de refuser un traitement médical — et un traitement qui comporte des risques inacceptables. Et ce n’est pas parce que l’un des fabricants de médicaments a obtenu l’approbation de la FDA pour son produit que cela aidera la personne qui subit les séquelles, voire pire, d’un vaccin. Les fabricants de médicaments sont protégés de toute poursuite que pourraient intenter les victimes de leurs produits.
Cette situation désastreuse a placé le citoyen des soi-disant démocraties dans une position peu enviable où il doit choisir entre s’engager dans une vie de vaccins et de rappels imparfaits pour pouvoir participer à une grande partie de l’économie, ou rester une sorte de paria social pour le restant de sa vie. C’est un choix qu’aucun citoyen d’un système démocratique ne devrait jamais être obligé de faire.
Sources :
Source de la photographie d’en-tête : Jernej Furman
COVID-19 vaccination record card, Passport, Boarding pass and syringe with jar. Travel and pandemic concept [taken on February 12, 2021]
https://www.flickr.com/photos/91261194@N06/50979007312/
[ Creative Commons — CC BY 2.0 ]
Autres dénominations également utilisées : passeport sanitaire, passeport vaccinal, passeport immunitaire, passe sanitaire, pass sanitaire, passe vaccinal… (NdT) ↩
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