En qualifiant de « héros » un volontaire de la Waffen-SS, le Parti libéral du Canada a mis en lumière une politique de longue date qui a vu Ottawa former des militants fascistes en Ukraine tout en accueillant des milliers d’anciens combattants nazis de la SS d’après-guerre.
Chrystia Freeland, la deuxième personnalité la plus puissante du Canada, est la petite-fille de l’un des principaux propagandistes ukrainiens de l’Allemagne nazie.
L’échiquier géopolitique est en perpétuel mouvement — et jamais autant que dans la conjoncture incandescente que nous vivons.
Max Blumenthal, de The Grayzone, s’est adressé au Conseil de sécurité de l’ONU pour évoquer, d’une part, le rôle de l’aide militaire des États-Unis à l’Ukraine dans l’escalade du conflit avec la Russie et, d’autre part, les véritables motifs qui sous-tendent le soutien de Washington à la guerre par procuration menée par Kiev.
L’arrestation de deux néonazis français lourdement armés revenant d’Ukraine met en lumière un problème imminent pour les pays de l’OTAN qui soutiennent la guerre par procuration ; elle met également en évidence la conspiration du silence de ces États sur la nature de la menace.
Le procureur général de la CPI, Karim Khan, a recueilli des millions de dollars auprès des États de l’OTAN en élaborant un mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine tout en gelant les enquêtes sur les crimes de guerre bien documentés des États-Unis et d’Israël. Chemin faisant, il s’est fait de puissants amis à Washington, Londres, Kiev — et Hollywood.
Des documents classifiés du Pentagone ont fait l’objet d’une fuite ; ils contiennent des informations sur les plans des États-Unis et de l’OTAN pour une offensive ukrainienne et des détails clés de la guerre en cours. L’administration Biden exigerait qu’ils soient retirés d’Internet. Y a-t-il un objectif caché derrière cette fuite ?
La Cour pénale internationale a lancé un mandat d’arrêt contre le président russe Vladimir Poutine, en l’accusant de « déportation illégale » d’enfants ukrainiens vers un réseau de camps à l’intérieur de la Russie. Le mandat s’appuie sur un rapport du centre du HRL de Yale, financé par le département d’État des États-Unis.
Le journaliste américain Jeremy Loffredo a visité l’un des camps en question parrainés par le gouvernement russe. Au Donbas Express, situé juste à l’extérieur de Moscou, Loffredo a rencontré des jeunes issus de régions déchirées par la guerre qui s’épanouissaient grâce à l’enseignement gratuit de la musique, et qui étaient reconnaissants de se trouver dans un environnement sécurisé. Cet article présente son reportage vidéo exclusif.
Une étude de The Grayzone sur le rapport du HRL de Yale a montré que le document contredisait de nombreuses affirmations contenues dans le mandat de la CPI. Il a également contredit les déclarations incendiaires que le directeur du HRL, Nathaniel Raymond, a faites lors de ses apparitions dans les médias.
Dans une interview avec Loffredo, Nathaniel Raymond a contredit les allégations qu’il avait faites à CNN au sujet d’une « prise d’otages » massive en cours en Russie, reconnaissant que la plupart des camps sur lesquels il avait fait des recherches étaient des programmes culturels façon « nounours ». Il a également révélé sa collaboration avec les services de renseignement des États-Unis.
Au cours de la deuxième semaine de mars, des milliers de personnes sont descendues dans les rues de Tbilissi, en Géorgie, pour manifester leur indignation face à un projet de loi exigeant que toute ONG opérant dans le pays et tirant plus de 20 % de ses revenus de l’étranger s’enregistre en tant qu’« agent de l’étranger ».
Un article évalué par des pairs, initialement approuvé et loué par une prestigieuse revue académique, a soudainement été annulé sans explication. Son auteur, l’un des plus grands spécialistes mondiaux des questions relatives à l’Ukraine, avait rassemblé des preuves accablantes permettant de conclure que les manifestants de Maïdan avaient été tués par des snipers en faveur du coup d’État.
Employé par des vétérans des forces spéciales britanniques, Pilgrims Group a discrètement façonné la couverture internationale de la catastrophe du vol MH17 en guidant les journalistes vers et depuis le site du crash.
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