Une forme de néonazisme typiquement ukrainienne se répand en Europe, prônant ouvertement la violence contre les minorités tout en cherchant de nouvelles recrues. Avec l’effondrement de l’armée de Kiev et le récit de la trahison de l’Occident qui gagne du terrain, l’horreur infligée aux habitants du Donbass pendant une décennie pourrait très bientôt arriver dans une ville près de chez vous.
Dans les 24 heures qui ont suivi l’horrible fusillade de masse du Crocus City Hall de Moscou le 22 mars, qui a fait au moins 137 morts et 60 blessés graves, les autorités étatsuniennes ont imputé le massacre à ISIS-K, la branche de Daesh pour l’Asie centrale et méridionale. Pour beaucoup, la rapid...
La population russe a donné carte blanche au Kremlin pour exercer une punition brutale et maximale — où et quand il le faut.
Terminé le jeu dans l’ombre. Ça se passe maintenant au grand jour. Tous les coups sont permis.
En qualifiant de « héros » un volontaire de la Waffen-SS, le Parti libéral du Canada a mis en lumière une politique de longue date qui a vu Ottawa former des militants fascistes en Ukraine tout en accueillant des milliers d’anciens combattants nazis de la SS d’après-guerre.
Chrystia Freeland, la deuxième personnalité la plus puissante du Canada, est la petite-fille de l’un des principaux propagandistes ukrainiens de l’Allemagne nazie.
L’échiquier géopolitique est en perpétuel mouvement — et jamais autant que dans la conjoncture incandescente que nous vivons.
Max Blumenthal, de The Grayzone, s’est adressé au Conseil de sécurité de l’ONU pour évoquer, d’une part, le rôle de l’aide militaire des États-Unis à l’Ukraine dans l’escalade du conflit avec la Russie et, d’autre part, les véritables motifs qui sous-tendent le soutien de Washington à la guerre par procuration menée par Kiev.
L’arrestation de deux néonazis français lourdement armés revenant d’Ukraine met en lumière un problème imminent pour les pays de l’OTAN qui soutiennent la guerre par procuration ; elle met également en évidence la conspiration du silence de ces États sur la nature de la menace.
Le procureur général de la CPI, Karim Khan, a recueilli des millions de dollars auprès des États de l’OTAN en élaborant un mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine tout en gelant les enquêtes sur les crimes de guerre bien documentés des États-Unis et d’Israël. Chemin faisant, il s’est fait de puissants amis à Washington, Londres, Kiev — et Hollywood.
Des documents classifiés du Pentagone ont fait l’objet d’une fuite ; ils contiennent des informations sur les plans des États-Unis et de l’OTAN pour une offensive ukrainienne et des détails clés de la guerre en cours. L’administration Biden exigerait qu’ils soient retirés d’Internet. Y a-t-il un objectif caché derrière cette fuite ?
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