Santé mondiale : changer les définitions pour changer les perceptions

Santé mondiale :
changer les définitions
pour changer les perceptions

Par Ryan Matters

Une publication NewBraveWorld.org


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Article

Traduit de l’anglais par EDB () • Langue originale : anglais


L’expression « suivre la science » devient vide de sens lorsque la « science » elle-même est manipulée et modifiée pour s’adapter et promouvoir un programme dominant. Cet article récapitule certaines des définitions qui ont été modifiées dans le but de correspondre au récit de la « pandémie ».

1. « Pandémie »

La plupart des gens ignorent qu’un mois avant la « pandémie » de H1N1, l’OMS a modifié la définition du mot « pandémie » pour l’adapter au discours dominant.

Définition d’avant 2009 :

« Une pandémie de grippe se produit lorsqu’apparaît un nouveau virus de la grippe contre lequel la population humaine n’est pas immunisée, ce qui entraîne plusieurs épidémies simultanées dans le monde entier, avec un nombre énorme de décès et de maladies. »

Définition postérieure à 2009 :

« Une pandémie de grippe peut survenir lors de l’apparition d’un nouveau virus de la grippe contre lequel la population humaine n’est pas immunisée. »

Voir la source.

2. « Immunité collective »

Que se passe-t-il lorsque la nécessité de votre vaccin est remise en cause par la possibilité d’obtenir une immunité collective grâce à l’infection naturelle ? C’est simple, il suffit de modifier la définition de l’« immunité collective » pour que tout tourne autour de la vaccination !

Remarque : le concept d’immunité collective lui-même est extrêmement controversé et a été utilisé historiquement pour justifier la vaccination de masse.

Définition originale :

« L’immunité collective est la protection indirecte contre une maladie infectieuse qui se produit lorsqu’une population est immunisée par la vaccination ou par une immunité développée par une infection antérieure. »

Définition mise à jour en 2020 :

« L’“immunité collective”, également appelée “immunité de la population”, est un concept utilisé pour la vaccination, dans lequel une population peut être protégée d’un certain virus si un seuil de vaccination est atteint. L’immunité collective est obtenue en protégeant les personnes d’un virus, et non en les exposant à celui-ci. »

Voir la source.

3. « Vaccin »

Que se passe-t-il lorsque les gens s’interrogent sur les raisons qui vous poussent à développer des thérapies géniques expérimentales et à les faire passer pour des « vaccins » ? Changez la définition du mot « vaccin », bien sûr !

Que se passe-t-il lorsque votre « vaccin » échoue totalement à fournir une « immunité » contre la « maladie » pour laquelle il a été conçu ? Changez à nouveau la définition !

Définition d’avant 2015 :

« Injection d’un organisme infectieux tué ou affaibli dans le but de prévenir la maladie. »

Définition 2015-2021 :

« Action d’introduire un vaccin dans l’organisme afin de produire une immunité contre une maladie spécifique. »

Définition de septembre 2021 :

« L’action d’introduire un vaccin dans l’organisme pour produire une protection contre une maladie spécifique. »

Voir la source.

4. Étude de gain de fonction

Que se passe-t-il lorsque vous mentez comme un arracheur de dents au sujet du financement d’études douteuses de « gain de fonction » dans un certain laboratoire de Wuhan et que vous êtes découvert ? Vous changez le nom et la signification de l’expression « étude de gain de fonction », pardi !

En effet, les NIH1 de Fauci2 ont supprimé toute mention du « gain de fonction » (gain-of-function / GOF) de leur site web et l’ont remplacé par un terme entièrement inventé : « étude impliquant des agents pathogènes pandémiques potentiels renforcés » (enhanced potential pandemic pathogen / ePPP).

Définition antérieure à octobre 2021 :

« L’expression étude de gain de fonction (GOF) décrit un type d’étude qui modifie un agent biologique de manière à lui conférer une activité nouvelle ou renforcée […]. Le sous-ensemble de l’étude de gain de fonction qui est censé renforcer la transmissibilité et/ou la virulence des agents pathogènes pandémiques potentiels, ce qui est susceptible de les rendre plus dangereux pour les humains, a fait l’objet d’un examen approfondi et de délibérations. »

Définition postérieure à octobre 2021 :

« En des occasions limitées, lorsqu’elles sont justifiées par un besoin impérieux de santé publique et menées dans des laboratoires de très haute biosécurité, les NIH ont soutenu certaines études dont on peut raisonnablement prévoir qu’elles créeront, transféreront ou utiliseront des agents pathogènes pandémiques potentiels résultant du renforcement de la transmissibilité et/ou de la virulence d’un agent pathogène chez l’homme. Le gouvernement des États-Unis et le département de la Santé et des services sociaux définissent ces études comme des études sur les agents pathogènes pandémiques potentiels renforcés (ePPP). Les études ePPP soutenues par les NIH nécessitent une surveillance stricte et ne peuvent être menées qu’avec des mesures de biosécurité et de sûreté biologique appropriées […] Si ces études sont intrinsèquement risquées et nécessitent une surveillance stricte, le risque de ne pas effectuer ce type d’étude et de ne pas être préparé à la prochaine pandémie est également élevé. »

Voir la source.

*

J’espère que vous pouvez voir le jeu qui se joue ici. En d’autres termes, suivez la science ! Mais uniquement la « science » décrétée par les tyrans de la santé mondiale (c’est-à-dire la « science » qu’ils fabriquent pour qu’elle corresponde à leur programme), car si vous ne le faites pas, vous êtes un théoricien de la conspiration.

Sources :


Sources de l’illustration d’en-tête :


  1. Les National Institutes of Health (NIH), que l’on peut traduire par Instituts nationaux de la santé, sont des institutions gouvernementales aux États-Unis qui s’occupent de la recherche médicale et biomédicale. Ils dépendent du département de la Santé et des services sociaux des États-Unis. (NdT) 

  2. Anthony Fauci est le conseiller médical en chef du président des États-Unis depuis le 20 janvier 2021, et le directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (National Institute of Allergy and Infectious Diseases / NIAID) depuis le 2 novembre 1984. (NdT) 

 

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