L’opposition vénézuélienne et les médias des États-Unis lancent l’accusation selon laquelle il y a eu fraude aux élections du 28 juillet, sur la base d’un sondage réalisé par Edison Research. Cette société est liée au gouvernement des États-Unis et travaille avec des organes de propagande d’État liés à la CIA. Elle a été active en Ukraine, en Géorgie et en Irak.
Aux États-Unis, des sénateurs ont envoyé une lettre au procureur de la Cour pénale internationale (CPI), menaçant d’imposer des sanctions et même d’envahir La Haye si celle-ci lance des mandats d’arrêt à l’encontre du Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, ou d’autres responsables israéliens. L’administration Biden fait également pression sur la CPI pour qu’elle n’inculpe pas les responsables israéliens pour les crimes de guerre commis à Gaza.
La CIA utilise les agences de renseignement d’un allié européen de l’OTAN pour lancer des actes de sabotage à l’intérieur du territoire russe, selon un article du journaliste Jack Murphy.
Selon une étude universitaire, le colonialisme britannique a causé environ 165 millions de morts en Inde entre 1880 et 1920, tout en volant des milliers de milliards de dollars de richesses. Le système capitaliste mondial a été fondé sur les génocides impériaux européens, qui ont inspiré Adolf Hitler et conduit au fascisme.
Le gazoduc Nord Stream, reliant la Russie à l’Allemagne, a été saboté quelques heures seulement avant que l’Union européenne n’ouvre son propre gazoduc de la mer Baltique, allant de la Norvège à la Pologne. Aux États-Unis, le secrétaire d’État, Antony Blinken, s’est réjoui que ces attaques soient une « formidable opportunité » d’affaiblir Moscou.
Le New York Times a publié des affirmations absurdes contre le rédacteur en chef de Multipolarista, Benjamin Norton, dans un article de diffamation, en utilisant une image de son visage barré d’une ligne rouge et sans lui donner l’occasion de faire un commentaire. Ce traitement à la hache reflète la longue tradition du journal dans la diffusion de fausse propagande de guerre en faveur du gouvernement des États-Unis.
Human Rights Watch et Amnesty International prétendent être indépendantes, mais elles entretiennent des liens étroits avec le gouvernement des États-Unis et servent ses intérêts en matière de politique étrangère, grâce au financement de fondations liées à la CIA et d’oligarques milliardaires.
L’ancien ambassadeur des États-Unis en Russie, William J. Burns, aujourd’hui directeur de la CIA, a admis dans un câble diplomatique classifié de 2008 que l’expansion de l’OTAN en Ukraine franchissait les « lignes rouges » de Moscou en matière de sécurité et « pourrait potentiellement diviser le pays en deux, entraînant des violences ou même, selon certains, une guerre civile, ce qui forcerait la Russie à décider si elle doit intervenir ».
Le think tank de l’OTAN, l’Atlantic Council, financé par les gouvernements étatsunien et européen, a fait la promotion du bataillon néonazi Azov d’Ukraine en 2014, présentant ses combattants d’extrême droite comme des héros anti-russes tout en blanchissant leur idéologie fasciste.
Les notes d’une réunion de 1991 prouvent que les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne ont assuré à l’Union soviétique que l’OTAN ne s’étendrait pas à l’est. Cela fait partie d’un ensemble croissant de preuves attestant que l’Occident n’a pas tenu sa promesse envers la Russie.
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