Max Blumenthal, de The Grayzone, s’est adressé au Conseil de sécurité de l’ONU pour évoquer, d’une part, le rôle de l’aide militaire des États-Unis à l’Ukraine dans l’escalade du conflit avec la Russie et, d’autre part, les véritables motifs qui sous-tendent le soutien de Washington à la guerre par procuration menée par Kiev.
Des dossiers britanniques récemment déclassifiés jettent une lumière troublante sur les origines et le fonctionnement interne de l’opération Gladio, un complot de l’OTAN déployant des milices terroristes fascistes à travers l’Italie. Les espions de Londres ont-ils appliqué leur expérience à l’Ukraine ?
L’arrestation de deux néonazis français lourdement armés revenant d’Ukraine met en lumière un problème imminent pour les pays de l’OTAN qui soutiennent la guerre par procuration ; elle met également en évidence la conspiration du silence de ces États sur la nature de la menace.
Son père, Ernst Albrecht, président du land allemand de Basse-Saxe de 1978 à 1990, a intégré des nazis non réhabilités dans son administration et a mené une opération terroriste sous drapeau noir destinée à discréditer l’organisation de gauche de la Fraction armée rouge (FAR).1
Les graines de ce conflit n’ont pas été plantées en 2014, ni même en 1991. Elles ont plutôt été semées dès le 22 juin 1941, lorsque les troupes nazies ont traversé la frontière pour la première fois dans le cadre de l’opération Barbarossa de Franz Halder.
Une vaste opération de police a permis de déjouer les plans des extrémistes visant à renverser le gouvernement allemand. Mais, le moment choisi pour le complot et son absurdité ont soulevé des questions sur le rôle de la sûreté de l’État dans la mise en place de ce projet — un phénomène souvent observé dans le passé en Allemagne.
Selon une étude universitaire, le colonialisme britannique a causé environ 165 millions de morts en Inde entre 1880 et 1920, tout en volant des milliers de milliards de dollars de richesses. Le système capitaliste mondial a été fondé sur les génocides impériaux européens, qui ont inspiré Adolf Hitler et conduit au fascisme.
L’Anti-Defamation League (ADL / Ligue anti-diffamation) a envoyé par e-mail à The Grayzone un plaidoyer en faveur du bataillon Azov et a refusé de condamner le Pentagone pour avoir honoré un vétéran appartenant au groupe et qui porte des tatouages d’inspiration nazie.
Pendant la collecte de fonds au profit d’une milice notoirement brutale en Ukraine et le trolling contre les critiques de la guerre par procuration, la liste des membres de l’« Organisation des fellas de l’Atlantique Nord » s’est remplie de costards de l’OTAN, de faucons de salon1 du Congrès, d’espions néocons, de mercenaires et d’agents du renseignement.
Célébrée dans les grands médias aux États-Unis pour ses trolls anti-russes, l’opération Twitter connue sous le nom d’OFAN a été fondée par un antisémite polonais pour collecter des fonds pour une milice qui a accueilli des criminels de guerre, des nationalistes blancs et des meurtriers recherchés.
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