Traduit de l’anglais par EDB () • Langue originale : anglais |
Depuis le début de l’assaut génocidaire d’Israël contre Gaza, les responsables sionistes, leurs homologues occidentaux, les experts et les journalistes n’ont cessé d’invoquer le sinistre spectre du « terrorisme » pour justifier le massacre à grande échelle des Palestiniens. C’est à cause du « terrorisme » qu’Hillary Clinton, candidate à la présidence des États-Unis à deux reprises et criminelle de guerre non condamnée, a écrit pour The Atlantic, le 14 novembre, que « le Hamas doit être définitivement éradiqué ». Les écoles et les hôpitaux détruits et les civils tués en masse sont des « dommages collatéraux » raisonnables. Tel est le mal sans précédent des « terroristes ».
Pourtant, le flot ininterrompu qui inonde les réseaux sociaux du monde entier de clips déchirants — témoignant de l’holocauste perpétré par les Forces d’occupation d’Israël (FOI) — et le nombre sans cesse croissant d’enfants tués ont poussé d’innombrables citoyens à se demander : « Si les membres du Hamas sont des terroristes, alors que sont les sionistes ? » Ce n’est certainement pas une coïncidence si YouTube a récemment supprimé la vidéo officielle d’un morceau révolutionnaire du célèbre rappeur et collaborateur de MintPress News, Lowkey, qui pose cette question précise, « Terrorist? ».
« Terrorist? » a été publié en 2011, au plus fort de la « War on Terror » (« guerre contre la terreur » ou « guerre contre le terrorisme ») de l’empire US. À l’époque, la prétendue menace mondiale du « terrorisme » était exploitée dans tout l’Occident pour porter atteinte aux libertés civiles dans le pays et mener sans relâche des « interventions » militaires illégales à l’étranger. L’usage courant du terme s’est ensuite effondré. Ce n’est qu’aujourd’hui qu’il redevient d’actualité en raison du génocide à Gaza.
Ce n’est pas un accident. Comme nous le verrons, Israël — et plus particulièrement son leader, le vieux routier Benyamin Netanyahou — a joué un rôle fondamental dans l’élaboration de la conception dominante du « terrorisme », explicitement pour délégitimer les luttes anti-impériales, tout en validant la violence étatique occidentale dirigée contre les peuples opprimés dans l’ensemble des pays du Sud. L’impact de cet assaut informationnel peut être ressenti dans tous les coins du monde aujourd’hui — et notamment à Gaza.
En fait, on pourrait raisonnablement conclure que les fondements spécifiques de la Nakba 2.0, qui se déroule actuellement en direct, ont été posés il y a des décennies grâce aux connivences de Netanyahou, du lobby sioniste international et de l’Agence centrale de renseignement (Central Intelligence Agency / CIA) des États-Unis. Voici l’histoire méconnue de la naissance du « terrorisme ». Une majorité de la population mondiale — le peuple palestinien, en particulier — en subit chaque jour les conséquences néfastes.
Notre histoire commence en 1976, à l’apogée de la détente entre les États-Unis et l’Union soviétique. Après deux décennies et demie d’hostilité acharnée, les deux superpuissances ont décidé de coexister pacifiquement. Elles ont collaboré pour démanteler systématiquement les structures et les doctrines qui ont défini l’ère de l’immédiat après-guerre, comme la destruction mutuelle assurée (Mutually Assured Destruction / MAD).
En mai de la même année, la CIA a publié sa National Intelligence Estimate (NIE) annuelle, un rapport complet combinant des données provenant de diverses agences de renseignement et destiné à servir de base à l’élaboration de la politique étrangère. Dans la lignée des cinq années précédentes, ce document concluait que les Soviétiques connaissaient un grave déclin économique, privilégiaient la diplomatie au conflit et cherchaient désespérément à mettre un terme à la guerre froide. Ces informations sont à l’origine des efforts déployés par Washington en faveur de la détente et de l’acceptation enthousiaste par Moscou des principaux traités de désarmement et de contrôle des armements.
Cependant, le nouveau directeur de la CIA, George H. W. Bush, a catégoriquement rejeté ces conclusions. Il a demandé un second avis et a créé une cellule de renseignement indépendante chargée d’examiner la NIE. Connue sous le nom de Team B (équipe B), cette cellule était composée de partisans purs et durs de la guerre froide, de faucons financés par l’industrie de la défense et d’anticommunistes enragés. Parmi eux se trouvaient plusieurs personnes qui allaient devenir des figures de proue du mouvement néoconservateur, comme Paul Wolfowitz. Les tristement célèbres spécialistes de magie noire de la CIA et du Pentagone, qui avaient été professionnellement ostracisés en raison de la détente, étaient également présents.
La Team B a dûment examiné la NIE et a réfuté chacune des conclusions de l’Agence : au lieu d’être délabrée, appauvrie et au bord de l’effondrement total, l’Union soviétique était en fait plus mortelle et plus dangereuse que jamais, ayant mis au point une vaste gamme de capacités de « première frappe » juste sous le nez collectif de la CIA. Pour parvenir à ces conclusions, la Team B s’est appuyé sur un amalgame de sophismes logiques, de théories paranoïaques, de conjectures conspirationnistes folles, de jugements de valeur non étayés et de raisonnements circulaires d’amateurs.
Par exemple, la Team B a estimé à plusieurs reprises que l’absence de preuves que Moscou possédait des systèmes d’armes, des technologies militaires ou des capacités de surveillance comparables ou supérieures à celles de Washington constituait une preuve inverse que les Soviétiques les possédaient bel et bien. La Team B a conclu que les Soviétiques étaient tellement sophistiqués et innovants qu’ils ne pouvaient pas être détectés ou même compris par l’Occident. Cette analyse s’est révélée être totalement fantaisiste lorsque l’URSS s’est effondrée. Cependant, ces méthodes ont inspiré toutes les NIE ultérieures pendant la guerre froide et continuent probablement à être appliquées aujourd’hui.
Le 27 juin de la même année, quelques semaines seulement après que la Team B se soit attelée à la tâche de relancer la guerre froide, le vol 139 d’Air France, en provenance de Tel-Aviv et à destination de Paris, a été détourné par des membres du Front populaire de libération de la Palestine. Redirigé vers un aéroport ougandais, l’avion est accueilli sur la piste par les militaires d’Idi Amin, qui font entrer les passagers — en majorité juifs ou israéliens — dans le terminal, sous la surveillance de dizaines de soldats, dans le but de les empêcher de s’échapper ou d’être secourus.
Les pirates de l’air ont transmis une demande au gouvernement israélien : à moins qu’une rançon de 5 millions de dollars ne leur soit versée et que 53 prisonniers palestiniens ne soient libérés, les otages seraient exécutés. En réponse, 100 commandos d’élite des FOI ont lancé une action audacieuse pour libérer les captifs. Leur mission — connue sous le nom de « raid d’Entebbe » — a été un succès retentissant. Tous les otages, sauf quatre, ont été sauvés vivants et les forces israéliennes n’ont perdu qu’un seul commandant : Yonatan (Jonathan) Netanyahou, le frère aîné du Premier ministre en exercice, Benyamin Netanyahou.
Depuis des années, les responsables israéliens ont tenté de populariser le terme « terrorisme » pour expliquer les motivations et les actions des combattants de la liberté palestiniens. De cette façon, la fureur légitime de ces résistants face à la répression pouvait être présentée comme une idéologie destructrice utilisant la violence pour la violence sans raison, et la tyrannie coloniale sioniste comme un acte d’autodéfense justifié. Cet effort s’est accéléré en septembre 1972, lorsque l’enlèvement de 11 athlètes israéliens aux Jeux olympiques de Munich par des militants palestiniens s’est soldé par l’assassinat de tous les otages.
Cette effusion de sang, particulièrement médiatisée, a focalisé l’attention du monde sur Israël et a amené les citoyens occidentaux à se demander ce qui avait bien pu inspirer de tels actes. Jusqu’à présent, les sionistes avaient réussi à dissimuler au monde extérieur la répression et le déplacement systématiques des Palestiniens imposés par l’État. Les journalistes étaient tenus à l’écart des scènes de crimes majeurs. Dans le même temps, la branche israélienne d’Amnesty International était secrètement financée et dirigée par le ministère des Affaires étrangères de Tel-Aviv pour blanchir les faits sur le terrain.
Pour la famille Netanyahou, le raid d’Entebbe a été une tragédie, mais aussi l’occasion idéale de valider et d’internationaliser le concept de « terrorisme », tel qu’il est défendu par les sionistes. En 1979, Benyamin Netanyahou a fondé l’Institut Jonathan en l’honneur de son frère disparu. Son but, disait-il, était le suivant :
« Attirer l’attention du public sur la grave menace que le terrorisme international fait peser sur toutes les sociétés démocratiques, étudier la nature réelle du terrorisme actuel et proposer des mesures pour combattre et vaincre les mouvements terroristes internationaux. »
En juillet de la même année, l’Institut a organisé, à l’hôtel Hilton de Jérusalem, la Conférence de Jérusalem sur le terrorisme international (Jerusalem Conference on International Terrorism / JCIT) qui a rassemblé une foule de 700 personnes composée de représentants du gouvernement israélien, de législateurs des États-Unis, d’agents de renseignements du réseau d’espionnage mondial « Five Eyes »1 et d’apparatchiks occidentaux de la politique étrangère. Comme on pouvait s’y attendre, de nombreux représentants de la Team B étaient présents. Pendant quatre jours et sept sessions différentes, les orateurs ont, les uns après les autres, brossé un tableau inquiétant du phénomène mondial du « terrorisme ».
Ils ont unanimement déclaré que tous les « terroristes » constituaient un mouvement politique unique et organisé, secrètement financé, armé, entraîné et dirigé par l’Union soviétique. Ce réseau diabolique, a-t-on affirmé, représentait une menace mortelle pour la démocratie, la liberté et la sécurité de l’Occident, et nécessitait une réponse coordonnée. Comme l’a fait remarquer plus tard l’universitaire Diana Ralph, la prescription collective de la JCIT pour s’attaquer à cette prétendue menace était précisément ce qui s’est produit un peu plus de vingt ans plus tard pendant la « guerre contre la terreur » (ou « guerre contre le terrorisme ») :
« [Cela comprenait] des attaques préventives contre des États censés soutenir des “terroristes” ; un appareil de renseignement élaboré ; des libertés civiles réduites — en particulier, pour les Palestiniens ciblés comme terroristes potentiels —, y compris la détention sans inculpation et la torture ; et une propagande visant à déshumaniser les “terroristes” aux yeux de l’opinion publique. »
Le Premier ministre israélien Menachem Begin a pris la parole lors de la séance d’ouverture de la JCIT. Il a donné le ton en affirmant que la violence de l’État occidental était en fin de compte « une lutte pour la liberté ou la libération » et qu’elle était donc fondamentalement opposée au « terrorisme ». Il a conclu son intervention en implorant la foule rassemblée d’aller promouvoir le message de la conférence une fois qu’elle serait terminée. Et c’est ce qui a été fait.
Parmi les participants à la JCIT, figurait l’auteure et journaliste américaine Claire Sterling, qui s’était fait les dents en tant que reporter des décennies auparavant à l’Overseas News Agency, une opération de propagande du MI6 visant à renforcer le soutien de l’opinion publique des États-Unis en faveur de l’entrée dans la Seconde Guerre mondiale. À la suite de la conférence, elle a fréquemment amplifié les affirmations des orateurs de la JCIT avec des articles publiés dans des journaux de premier plan, ce qui a conduit à un épique exposé en première page du New York Times en mars 1981, intitulé « Terrorism: Tracing the International Network ».
Un livre publié plus tard dans l’année, The Terror Network (Le réseau de la terreur), a considérablement développé les travaux de Sterling et a fermement ancré dans l’esprit du public occidental la notion d’un Moscou qui serait une grande araignée placée au centre d’une vaste toile de violence politique meurtrière à l’échelle planétaire. Il a fait sensation dès sa sortie, recevant des critiques élogieuses de la part des principaux médias, étant traduit en 22 langues et devenant un best-seller dans plusieurs pays.
Mais, surtout, The Terror Network a eu un impact particulièrement puissant sur le président Ronald Reagan, qui venait d’être investi, et sur son chef de la CIA, William Casey. Anticommunistes convaincus, ils sont entrés en fonction en cherchant désespérément un prétexte pour écraser brutalement l’opposition nationaliste de gauche à l’impérialisme des États-Unis en Amérique latine. Le travail de Sterling a fourni de nombreuses munitions pour atteindre cet objectif sanglant ; il a joué un rôle clé dans la rupture décisive, par la Maison-Blanche, de la détente — un processus entamé par la Team B cinq ans plus tôt.
En conséquence, The Terror Network a été diffusé parmi les législateurs étatsuniens et a fait l’objet d’une forte promotion à l’étranger, aux frais de l’administration Reagan. Casey a en outre chargé son agence de vérifier sa thèse. Le travail de Sterling a rapidement été estimé comme étant de la foutaise irrécupérable, ce qui est assez ironique, car il était fortement influencé par la propagande noire2 de la CIA. Furieux, Casey a exigé que l’évaluation soit révisée. L’évaluation mise à jour est moins cinglante, mais souligne néanmoins que le livre est « inégal et que la fiabilité de ses sources est très variable », tandis que des « parties significatives » sont « incorrectes ».
Toujours insatisfait, Casey a demandé à un « groupe d’experts » de la CIA, chargé d’examiner les estimations officielles de Langley, de rédiger son propre rapport sur le sujet. Le panel a conclu que les Soviétiques avaient offert une aide financière, matérielle et pratique limitée à une poignée de mouvements de libération anti-impériaux du Sud, dont certains étaient qualifiés de « terroristes » par les puissances occidentales. Mais, les preuves de la culpabilité moscovite dans l’ensemble du phénomène mondial du « terrorisme » étaient « insuffisantes », sans parler du financement et de la direction de telles entités dans le cadre d’une politique spécifique.
Sans se décourager, Casey a remis personnellement le rapport à Reagan qui aurait déclaré à propos de ses conclusions : « Bien sûr, Monsieur le Président, vous et moi, nous n’en croyons rien. » Ce sont alors des escadrons de la mort soutenus par la CIA qui ont sévi dans l’arrière-cour de Washington tout au long des années 1980, au nom de la neutralisation de l’influence soviétique dans la région. Leurs actions étaient fortement inspirées du manuel de guérilla de l’Agence ; celui-ci encourageait les assassinats de responsables gouvernementaux et de dirigeants civils, ainsi que les attaques meurtrières contre des « cibles molles » (« soft targets ») telles que les écoles et les hôpitaux. Le « terrorisme », en d’autres termes.
Un autre exemple du « terrorisme » de Reagan a été le parrainage des combattants de la résistance des moudjahidine d’Afghanistan dans leur lutte contre — et c’est assez ironique — l’Armée rouge soviétique. Cette politique a perduré après la défaite de l’« Empire du Mal » (« Evil Empire »). Les mêmes militants ont été transportés en Bosnie et au Kosovo dans les années 1990 pour aider et encourager la mort douloureuse et forcée de la Yougoslavie.
Lorsque ces actions secrètes ont produit un « retour de bâton » (« blowback », dans le jargon de la CIA) sous la forme des attentats du 11 septembre, plusieurs personnes ayant participé à la JCIT, ainsi que leurs acolytes, ont été nommées au sein de l’administration Bush en raison de leur expertise supposée en matière de « terrorisme ». Pendant ce temps, alors que les craintes du public et des États à l’égard du « terrorisme » augmentaient considérablement dans le monde entier, de nombreux pays occidentaux se sont tournés vers Israël pour obtenir des conseils et des orientations sur la manière d’aborder le problème. Comme l’a déclaré Nentyahu en 2008 :
« Nous bénéficions d’une chose, et c’est l’attaque des Twin Towers [tours jumelles] et du Pentagone et la lutte des Américains en Irak. »
Et ce n’est pas seulement parce que le 11 septembre « a fait basculer l’opinion publique américaine en faveur [d’Israël] ». En un clin d’œil, la répression et les massacres sionistes sont passés d’une source d’embarras et d’opprobre internationaux à un argument de vente convaincant et unique pour la multitude de sociétés de « défense » et de « sécurité » de Tel-Aviv. Les territoires occupés sont devenus des laboratoires, leurs habitants des cobayes sur lesquels les FOI pouvaient tester de nouveaux armements, de nouvelles méthodes de surveillance et de nouvelles techniques de pacification, avant de les commercialiser et de les vendre à l’étranger.
Ce n’est pas pour rien que des vidéos explicites montrant des « frappes chirurgicales » des FOI sur les Palestiniens, leurs maisons, leurs écoles et leurs hôpitaux sont fièrement exposées dans les foires internationales d’armement ; et que des démonstrations d’outils de surveillance invasifs tels que Pegasus ont lieu régulièrement à huis clos devant des agences de sécurité et de renseignement étrangères répressives.
En plus d’un avantage financier significatif, il y a aussi un dividende diplomatique. Israël s’assure une bienveillance inestimable de la part de ses clients pour la censure écrasante, ce qui permet au projet sioniste consistant à purger définitivement la Palestine de ses habitants indigènes de se poursuivre sans entrave. Nous en avons une démonstration palpable actuellement. Alors que les rues de presque toutes les grandes villes occidentales débordent régulièrement d’une ferveur pro-palestinienne depuis le début de la dernière attaque à Gaza, les représentants élus des manifestants sont au mieux silencieux, au pire activement complices.
Les chants passionnés « Nous sommes tous des Palestiniens » sont fréquents lors de ces manifestations. Ce cri de ralliement est tout à fait approprié, car en plus d’exprimer notre sympathie et notre solidarité avec le peuple palestinien, il est urgent que nous réfléchissions tous au fait que les mêmes techniques et technologies de contrôle et d’oppression auxquelles ils ont été si cruellement soumis quotidiennement pendant des décennies sont maintenant fermement dirigées contre nous aussi, du fait de l’invention du « terrorisme » par Israël. Il n’est donc pas exagéré de dire que les Palestiniens sont une sonnette d’alarme pour l’humanité.
Sources :
Source de l’illustration d’en-tête : MintPress News
https://www.mintpressnews.com/team-b-jerusalem-conference-israel-helped-craft-modern-terrorism/286295/
« Five Eyes » (littéralement, « Cinq Yeux », ou « Groupe des cinq », tel que traduit par la Défense canadienne) désigne l’alliance des services de renseignement de l’Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni et des États-Unis. (NdT) ↩
La propagande noire est une forme de propagande destinée à donner l’impression qu’elle a été créée par ceux-là mêmes qu’elle est censée discréditer. Elle s’oppose à la propagande grise, qui n’identifie pas sa source, ainsi qu’à la propagande blanche, qui ne dissimule pas du tout ses origines.
La propagande noire est généralement utilisée pour vilipender ou embarrasser l’ennemi par le biais de fausses déclarations. La principale caractéristique de la propagande noire est que le public n’est pas conscient que quelqu’un l’influence et n’a pas l’impression d’être poussé dans une certaine direction.
(NdT)
[Source : d’après l’article de Wikipedia, version du 1er février 2023 à 2 h 35 UTC] ↩
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