Une étude de MintPress News sur la couverture, par les principaux médias des États-Unis, du blocus de la mer Rouge par le Yémen a révélé une partialité écrasante : la presse a présenté l’événement comme un acte terroriste agressif et hostile d’Ansar Allah (alias les Houthis), lequel a été décrit c...
Le journaliste à l’origine d’une enquête discréditée du New York Times, qui prétendait que le Hamas se livrait à des violences sexuelles systématiques le 7 octobre, apparaîtra aux côtés d’Hillary Clinton et des principaux responsables de la politique étrangère de Joe Biden, lors d’un événement organisé à l’université de Columbia pour justifier l’assaut d’Israël sur Gaza.
Tout en envoyant des armes pour soutenir l’assaut du gouvernement d’Israël contre Gaza, l’administration Biden accepte les allégations israéliennes concernant l’UNRWA sans prendre la peine d’enquêter dessus.
Dans une attaque remplie de contre-vérités, Elizabeth Dwoskin du Washington Post, ardemment pro-israélienne, a dénigré le reportage factuel de The Grayzone en s’appuyant sur des « recherches » effectuées par un organisme infesté de barbouzes et étroitement lié à l’Anti-Defamation League.
Elizabeth Dwoskin s’est également appuyée sur un ancien des forces spéciales israéliennes à la tête d’une campagne « Dôme de fer numérique » visant à censurer les critiques formulées sur les réseaux sociaux à l’encontre de l’assaut israélien contre Gaza.
Notre peuple palestinien, inébranlable et résilient,
Nos nations arabes et islamiques,
Peuples libres du monde entier, défenseurs de la vérité, de la liberté, de la justice et de la dignité humaine,
À la lumière de l’agression israélienne en cours contre la bande de Gaza et la Cisjordanie — et alors que notre peuple poursuit sa lutte pour l’indépendance, pour la dignité et pour se libérer de l’occupation la plus longue de l’histoire et durant laquelle il a fait preuve de bravoure et d’héroïsme en affrontant la machine meurtrière israélienne —, nous voudrions expliquer à notre peuple et aux peuples libres du monde la réalité de ce qui s’est passé le 7 octobre, les raisons qui l’ont motivé, son contexte général lié à la cause palestinienne, ainsi que réfuter les allégations israéliennes en mettant les faits en perspective.
« Si vous parlez à un Américain ordinaire ou, d’après mon expérience, à un Israélien moyen, ils ne savent rien de qui sont les Palestiniens. Ils ne savent pas d’où ils viennent, ils ne savent pas comment ils vivent, ce qu’ils croient, et ils ne veulent pas le savoir. Pas vrai ? Parce que cela ne fait que compliquer les choses […] »
(Sam Biagetti, historien)
Une mère israélienne indignée a déclenché un tollé après avoir accusé l’armée israélienne d’avoir délibérément gazé son fils à mort alors qu’il était détenu dans un tunnel de Gaza. Elle affirme aujourd’hui que l’armée a fait enlever la pierre tombale de son fils après que son message critique est devenu viral.
Son meurtre fait suite à une série d’attaques de l’armée contre des captifs israéliens à Gaza, ce qui soulève des questions quant à l’existence d’une politique de tirs amis visant à empêcher les échanges de prisonniers.
Est-ce une coïncidence que la plus grande organisation terroriste du monde soit ravivée au moment même où les États-Unis subissent un assaut sur plusieurs fronts contre leur hégémonie en Asie de l’Ouest ? Plus curieusement, les cibles d’ISIS et celles de Washington sont exactement les mêmes.
Dans son plaidoyer historique contre « le massacre en cours de la population de Gaza », l’Afrique du Sud a commencé sa présentation à La Haye avec ce que les experts des droits de l’homme ont considéré comme des preuves « horribles » et « dévastatrices » de l’intention génocidaire d’Israël dans « un...
De nouvelles preuves montrent que ce sont les forces de sécurité israéliennes, et non le Hamas, qui ont causé le plus grand nombre de morts lors du festival de musique — des morts civiles qui ont ensuite été utilisées pour justifier le génocide de Gaza par Tel-Aviv.
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