Une étude de MintPress News sur la couverture, par les principaux médias des États-Unis, du blocus de la mer Rouge par le Yémen a révélé une partialité écrasante : la presse a présenté l’événement comme un acte terroriste agressif et hostile d’Ansar Allah (alias les Houthis), lequel a été décrit c...
Est-ce une coïncidence que la plus grande organisation terroriste du monde soit ravivée au moment même où les États-Unis subissent un assaut sur plusieurs fronts contre leur hégémonie en Asie de l’Ouest ? Plus curieusement, les cibles d’ISIS et celles de Washington sont exactement les mêmes.
Washington doit gagner sa guerre de Gaza contre l’Iran parce qu’il n’a pas réussi à gagner sa guerre d’Ukraine contre la Russie.
Alors que le soutien de l’Occident à la guerre d’Israël contre Gaza devient indéfendable, Moscou s’aligne sur la Majorité globale pour défendre la Palestine.
Le seul pays susceptible de détourner l’Occident de l’Ukraine est Israël. Mais, les États-Unis et leurs alliés tombent dans un piège existentiel s’ils pensent qu’une victoire en Asie occidentale sera plus facile à remporter qu’une victoire en Europe.
Les États arabes qui ont normalisé leurs relations avec Tel-Aviv comptent parmi les principaux contributeurs financiers du complexe militaro-industriel israélien. Ces milliards arabes alimentent aujourd’hui la guerre insensée de l’État d’occupation contre les Palestiniens de Gaza, de Jérusalem et de Cisjordanie.
Alors que certains poids lourds russes s’efforcent de faire d’Israël un État hostile, il est peu probable que le Kremlin change d’avis. Au contraire, Moscou restera « neutre » pour maximiser son influence en Asie occidentale, tout en se rapprochant des mondes arabe et musulman.
En attaquant Israël avec une audace inouïe, le mouvement national palestinien vient de franchir un cap historique. Les faits sont là, impensables hier et pourtant incontestables aujourd’hui : c’est la première fois que les combattants palestiniens mènent une offensive de cette ampleur en territoire...
Selon la narration ressassée par les médias occidentaux, la guerre de Syrie aurait opposé une rébellion assoiffée de libertés démocratiques à un État autoritaire porté à bout de bras par ses alliés. Pour les faux naïfs, une héroïque « révolution syrienne » se serait même dressée contre un pouvoir cl...
Le président chinois Xi Jinping a qualifié d’« historiques » toutes les décisions majeures prises lors du 15e sommet des BRICS en Afrique du Sud. On pourrait même considérer cela comme un euphémisme.
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