Israël joue un jeu cynique. Il conclut avec les Palestiniens des accords qui doivent être mis en œuvre par étapes et qui lui permettent d’obtenir immédiatement ce qu’il veut. Il viole ensuite toutes les phases subséquentes et relance son assaut militaire.
L’accord fait suite à une décision de la Knesset rejetant totalement l’établissement d’un État palestinien, et intervient alors que les efforts de cessez-le-feu restent bloqués en raison de la position d’Israël sur la poursuite de la guerre.
Le plan préconise le transfert forcé de la population de la bande de Gaza vers le Sinaï de façon permanente, et demande à la communauté internationale d’être mise à contribution pour faciliter ce déplacement.
Alors que le tapis de bombes israélien sur Gaza entre dans sa troisième semaine, faisant plus de 5 000 morts et déplaçant au moins un million de résidents, un think tank (groupe de réflexion) basé à Tel-Aviv publie un projet de solution finale pour l’État juif autoproclamé.
Vous l’avez entendu. Les médias ont décidé que cette attaque était « non provoquée », laissant de côté des décennies d’occupation et d’oppression qui ont fait de Gaza le plus grand camp de concentration et la plus grande prison à ciel ouvert du monde.
En réalité, cette attaque a été largement provoquée. Et la violence n’a pas commencé le 7 octobre.
Le président chinois Xi Jinping a qualifié d’« historiques » toutes les décisions majeures prises lors du 15e sommet des BRICS en Afrique du Sud. On pourrait même considérer cela comme un euphémisme.
Dans un campement bédouin aux abords de Syrte, en juin 1942, un homme est né d’un gardien de chèvres et de chameaux ; son nom est Mouammar Mohammed Abu Minyar al-Kadhafi. Sa tribu, les Qadhadhfa, est d’origine berbère arabisée, bien qu’il ait été affirmé que la grand-mère maternelle de Kadhafi était...
Le 2 juin 1967 était une journée chargée de tension au quartier général des Forces de défense d’Israël1 à Tel-Aviv. Depuis des semaines, les généraux ont poussé le gouvernement à déclencher une guerre. Le Premier ministre israélien, Levi Eshkol, qui faisait également office de ministre de la Défense, est venu voir les généraux au centre de commandement de l’armée. Tous les généraux qui composaient le haut commandement de Tsahal étaient présents. Cette réunion est connue pour avoir été qualifiée d’épreuve de force. Des années plus tard, certains accuseront même l’armée d’une tentative de coup d’État.
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