Le New York Times a publié des affirmations absurdes contre le rédacteur en chef de Multipolarista, Benjamin Norton, dans un article de diffamation, en utilisant une image de son visage barré d’une ligne rouge et sans lui donner l’occasion de faire un commentaire. Ce traitement à la hache reflète la longue tradition du journal dans la diffusion de fausse propagande de guerre en faveur du gouvernement des États-Unis.
Human Rights Watch et Amnesty International prétendent être indépendantes, mais elles entretiennent des liens étroits avec le gouvernement des États-Unis et servent ses intérêts en matière de politique étrangère, grâce au financement de fondations liées à la CIA et d’oligarques milliardaires.
L’ancien ambassadeur des États-Unis en Russie, William J. Burns, aujourd’hui directeur de la CIA, a admis dans un câble diplomatique classifié de 2008 que l’expansion de l’OTAN en Ukraine franchissait les « lignes rouges » de Moscou en matière de sécurité et « pourrait potentiellement diviser le pays en deux, entraînant des violences ou même, selon certains, une guerre civile, ce qui forcerait la Russie à décider si elle doit intervenir ».
Le think tank de l’OTAN, l’Atlantic Council, financé par les gouvernements étatsunien et européen, a fait la promotion du bataillon néonazi Azov d’Ukraine en 2014, présentant ses combattants d’extrême droite comme des héros anti-russes tout en blanchissant leur idéologie fasciste.
Les notes d’une réunion de 1991 prouvent que les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne ont assuré à l’Union soviétique que l’OTAN ne s’étendrait pas à l’est. Cela fait partie d’un ensemble croissant de preuves attestant que l’Occident n’a pas tenu sa promesse envers la Russie.
Après leur rencontre à Pékin, le président chinois Xi Jinping et le président russe Vladimir Poutine ont publié une déclaration commune précisant les divisions idéologiques de la nouvelle guerre froide : l’Eurasie appelle à la multipolarité, à la coopération, à la souveraineté et à la « redistribution du pouvoir dans le monde » contre l’hégémonie unipolaire et l’interventionnisme des États-Unis.
Les États-Unis, l’UE et l’OEA lancent une nouvelle tentative de coup d’État contre le gouvernement sandiniste du Nicaragua, en refusant de reconnaître ses élections de 2021. Ben Norton, de The Grayzone, a observé le vote sur le terrain et a rédigé ce rapport.
Les États-Unis, l’UE et l’OEA lancent une nouvelle tentative de coup d’État contre le gouvernement sandiniste du Nicaragua, en refusant de reconnaître ses élections de 2021. The Grayzone a observé le vote sur le terrain, et réfute les mythes visant à discréditer le processus.
L’histoire de l’ancienne guérillera nicaraguayenne Dora María Téllez et de son parti anti-sandiniste MRS : comment ils se sont alliés à la droite et sont devenus des informateurs de l’ambassade des États-Unis soutenant le coup d’État
Facebook, Instagram et Twitter ont suspendu des centaines de journalistes et militants pro-sandinistes influents quelques jours avant les élections du 7 novembre au Nicaragua, affirmant à tort qu’ils étaient des trolls du gouvernement. The Grayzone les a interviewés pour révéler la vérité.
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