L’échiquier géopolitique est en perpétuel mouvement — et jamais autant que dans la conjoncture incandescente que nous vivons.
Des dossiers britanniques récemment déclassifiés jettent une lumière troublante sur les origines et le fonctionnement interne de l’opération Gladio, un complot de l’OTAN déployant des milices terroristes fascistes à travers l’Italie. Les espions de Londres ont-ils appliqué leur expérience à l’Ukraine ?
Nous ne pouvons même pas commencer à imaginer les effets de vague non-stop découlant du tremblement de terre géopolitique de 2023 qui a secoué le monde : Poutine et Xi, à Moscou, signalant de facto le début de la fin de la Pax Americana.
Des documents classifiés du Pentagone ont fait l’objet d’une fuite ; ils contiennent des informations sur les plans des États-Unis et de l’OTAN pour une offensive ukrainienne et des détails clés de la guerre en cours. L’administration Biden exigerait qu’ils soient retirés d’Internet. Y a-t-il un objectif caché derrière cette fuite ?
Au cours de la deuxième semaine de mars, des milliers de personnes sont descendues dans les rues de Tbilissi, en Géorgie, pour manifester leur indignation face à un projet de loi exigeant que toute ONG opérant dans le pays et tirant plus de 20 % de ses revenus de l’étranger s’enregistre en tant qu’« agent de l’étranger ».
Un expert en bioterrorisme et lanceur d’alerte affirme que la CIA a secrètement collaboré pour soutenir des recherches non éthiques sur le gain de fonction qui ont abouti à la fabrication du SARS-CoV-2 responsable de la COVID-19 ; le virus se serait ensuite échappé de l’Institut de virologie de Wuhan.
Son père, Ernst Albrecht, président du land allemand de Basse-Saxe de 1978 à 1990, a intégré des nazis non réhabilités dans son administration et a mené une opération terroriste sous drapeau noir destinée à discréditer l’organisation de gauche de la Fraction armée rouge (FAR).1
Les graines de ce conflit n’ont pas été plantées en 2014, ni même en 1991. Elles ont plutôt été semées dès le 22 juin 1941, lorsque les troupes nazies ont traversé la frontière pour la première fois dans le cadre de l’opération Barbarossa de Franz Halder.
Une vaste opération de police a permis de déjouer les plans des extrémistes visant à renverser le gouvernement allemand. Mais, le moment choisi pour le complot et son absurdité ont soulevé des questions sur le rôle de la sûreté de l’État dans la mise en place de ce projet — un phénomène souvent observé dans le passé en Allemagne.
Une collection inestimable de dossiers de renseignement envoyés par des soldats de la paix canadiens révèlent des opérations clandestines de la CIA, des livraisons d’armes illégales, des combattants djihadistes importés, des faux drapeaux potentiels et des atrocités mises en scène.
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