La Cour pénale internationale a lancé un mandat d’arrêt contre le président russe Vladimir Poutine, en l’accusant de « déportation illégale » d’enfants ukrainiens vers un réseau de camps à l’intérieur de la Russie. Le mandat s’appuie sur un rapport du centre du HRL de Yale, financé par le département d’État des États-Unis.
Le journaliste américain Jeremy Loffredo a visité l’un des camps en question parrainés par le gouvernement russe. Au Donbas Express, situé juste à l’extérieur de Moscou, Loffredo a rencontré des jeunes issus de régions déchirées par la guerre qui s’épanouissaient grâce à l’enseignement gratuit de la musique, et qui étaient reconnaissants de se trouver dans un environnement sécurisé. Cet article présente son reportage vidéo exclusif.
Une étude de The Grayzone sur le rapport du HRL de Yale a montré que le document contredisait de nombreuses affirmations contenues dans le mandat de la CPI. Il a également contredit les déclarations incendiaires que le directeur du HRL, Nathaniel Raymond, a faites lors de ses apparitions dans les médias.
Dans une interview avec Loffredo, Nathaniel Raymond a contredit les allégations qu’il avait faites à CNN au sujet d’une « prise d’otages » massive en cours en Russie, reconnaissant que la plupart des camps sur lesquels il avait fait des recherches étaient des programmes culturels façon « nounours ». Il a également révélé sa collaboration avec les services de renseignement des États-Unis.
Décrite comme « l’organisation la plus importante dont vous n’avez jamais entendu parler », MITRE rafle d’énormes contrats avec les services de sécurité de l’État pour mettre au point des technologies d’espionnage invasives. Elle est maintenant au cœur d’une campagne visant à mettre en place des passeports vaccinaux numériques.
Les titans du capitalisme mondial exploitent la crise du Covid-19 pour instituer des systèmes d’identification numérique de type crédit social dans tout l’Occident.
Derrière le voile de relations publiques des grands médias, la Fondation Gates a servi de vecteur au capital occidental tout en exploitant les pays du Sud comme un laboratoire humain. La pandémie de coronavirus est susceptible d’intensifier ce programme inquiétant.
L’oligarque milliardaire Bill Gates et sa Fondation Bill & Melinda Gates ont effectivement privatisé l’infrastructure mondiale de la santé publique et sont prêts à en tirer un profit considérable après la pandémie de Covid-19.
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