Après qu’un soldat de réserve israélien nommé David Ben Zion a déclaré à un journaliste que des militants palestiniens « coupaient les têtes des bébés », Biden, Netanyahou et les médias internationaux ont amplifié cette affirmation douteuse.
The Grayzone a identifié Ben Zion comme étant un leader de colons fanatiques qui a provoqué des émeutes en demandant que tout un village palestinien soit « exterminé1 ».
Depuis le renversement du gouvernement du Niger favorable aux États-Unis, les nations ouest-africaines du bloc de la CEDEAO ont menacé d’envahir leur voisin.
Avant de mener la charge pour une intervention, le président de la CEDEAO, Bola Tinubu, a passé des années à blanchir des millions pour des trafiquants d’héroïne à Chi-Town,1 et a depuis été pris dans de nombreux scandales de corruption.
Des documents classifiés du Pentagone ont fait l’objet d’une fuite ; ils contiennent des informations sur les plans des États-Unis et de l’OTAN pour une offensive ukrainienne et des détails clés de la guerre en cours. L’administration Biden exigerait qu’ils soient retirés d’Internet. Y a-t-il un objectif caché derrière cette fuite ?
L’Anti-Defamation League (ADL / Ligue anti-diffamation) a envoyé par e-mail à The Grayzone un plaidoyer en faveur du bataillon Azov et a refusé de condamner le Pentagone pour avoir honoré un vétéran appartenant au groupe et qui porte des tatouages d’inspiration nazie.
Pendant la collecte de fonds au profit d’une milice notoirement brutale en Ukraine et le trolling contre les critiques de la guerre par procuration, la liste des membres de l’« Organisation des fellas de l’Atlantique Nord » s’est remplie de costards de l’OTAN, de faucons de salon1 du Congrès, d’espions néocons, de mercenaires et d’agents du renseignement.
Célébrée dans les grands médias aux États-Unis pour ses trolls anti-russes, l’opération Twitter connue sous le nom d’OFAN a été fondée par un antisémite polonais pour collecter des fonds pour une milice qui a accueilli des criminels de guerre, des nationalistes blancs et des meurtriers recherchés.
L’Atlantic Council, soutenu par l’OTAN, a proposé l’apartheid israélien comme modèle pour une Ukraine hypermilitarisée. Le document a été rédigé par l’ancien ambassadeur d’Obama à Tel-Aviv, aujourd’hui consultant israélien en technologie d’espionnage.
Les États de l’OTAN déversent des armes en Ukraine pour attiser la violence et créer un nouvel Afghanistan au cœur de l’Europe.
Bien que les médias occidentaux déploient l’héritage juif de Volodymyr Zelensky pour réfuter les accusations d’influence nazie en Ukraine, le président a, en réalité, cédé aux forces néonazies et dépend désormais d’elles pour combattre en première ligne.
Certaines connexions troublantes contredisent l’image d’Amnesty en tant que défenseur bienveillant des droits de l’homme et révèlent que les figures majeures de l’organisation durant ses premières années étaient moins préoccupées par la dignité humaine que par celle de l’image des États-Unis et du Royaume-Uni dans le monde.
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