Cochav Elkayam-Levy, l’avocate israélienne au centre de la campagne accusant le Hamas de violences sexuelles systématiques le 7 octobre, est maintenant elle-même accusée par les médias israéliens d’escroquer les donateurs et de diffuser de fausses informations. Les allégations sont apparues quelques jours seulement après qu’Elkayam-Levy a reçu le prestigieux prix Israël.
Le contenu du document de l’Association des centres d’aide aux victimes de viols en Israël, qui prétend que les viols du Hamas sont « systématiques », provient en grande partie de témoignages de seconde main discrédités et d’articles de presse débunkés. Parmi les sources les plus citées, figure un article douteux du New York Times qui a déclenché une révolte au sein même du journal de la part de son personnel.
Fondé par un violeur en série connu comme le « Haredi Jeffrey Epstein », le groupe de sauvetage ultra-orthodoxe israélien ZAKA est responsable de certaines des histoires inventées d’atrocités les plus obscènes après le 7 octobre — des bébés décapités aux « viols de masse », en passant par un fœtus découpé du ventre de sa mère.
Le secrétaire d’État Antony Blinken et le président Joseph Biden se sont tous deux fait l’écho de témoignages de ZAKA, manifestement faux, sur des atrocités qui auraient été commises par le Hamas.
Entaché par des allégations de fraude financière, ZAKA profite de la publicité du 7 octobre pour collecter des sommes d’argent sans précédent.
Sa rivale, l’organisation United Hatzalah, a raconté elle aussi de fausses histoires, celles de bébés cuits dans des fours, alors qu’elle se rapproche d’un objectif de collecte de fonds de 50 millions de dollars.
Selon la narration ressassée par les médias occidentaux, la guerre de Syrie aurait opposé une rébellion assoiffée de libertés démocratiques à un État autoritaire porté à bout de bras par ses alliés. Pour les faux naïfs, une héroïque « révolution syrienne » se serait même dressée contre un pouvoir cl...
Avant d’être renversé par un coup d’État militaire, le président gabonais Ali Bongo, désespérément corrompu, était courtisé par Obama et célébré de Washington à Davos. La guerre des États-Unis contre la Libye, qui a déstabilisé la région, n’aurait peut-être pas réussi sans lui.
Depuis le renversement du gouvernement du Niger favorable aux États-Unis, les nations ouest-africaines du bloc de la CEDEAO ont menacé d’envahir leur voisin.
Avant de mener la charge pour une intervention, le président de la CEDEAO, Bola Tinubu, a passé des années à blanchir des millions pour des trafiquants d’héroïne à Chi-Town,1 et a depuis été pris dans de nombreux scandales de corruption.
Max Blumenthal, de The Grayzone, s’est adressé au Conseil de sécurité de l’ONU pour évoquer, d’une part, le rôle de l’aide militaire des États-Unis à l’Ukraine dans l’escalade du conflit avec la Russie et, d’autre part, les véritables motifs qui sous-tendent le soutien de Washington à la guerre par procuration menée par Kiev.
Le procureur général de la CPI, Karim Khan, a recueilli des millions de dollars auprès des États de l’OTAN en élaborant un mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine tout en gelant les enquêtes sur les crimes de guerre bien documentés des États-Unis et d’Israël. Chemin faisant, il s’est fait de puissants amis à Washington, Londres, Kiev — et Hollywood.
La Cour pénale internationale a lancé un mandat d’arrêt contre le président russe Vladimir Poutine, en l’accusant de « déportation illégale » d’enfants ukrainiens vers un réseau de camps à l’intérieur de la Russie. Le mandat s’appuie sur un rapport du centre du HRL de Yale, financé par le département d’État des États-Unis.
Le journaliste américain Jeremy Loffredo a visité l’un des camps en question parrainés par le gouvernement russe. Au Donbas Express, situé juste à l’extérieur de Moscou, Loffredo a rencontré des jeunes issus de régions déchirées par la guerre qui s’épanouissaient grâce à l’enseignement gratuit de la musique, et qui étaient reconnaissants de se trouver dans un environnement sécurisé. Cet article présente son reportage vidéo exclusif.
Une étude de The Grayzone sur le rapport du HRL de Yale a montré que le document contredisait de nombreuses affirmations contenues dans le mandat de la CPI. Il a également contredit les déclarations incendiaires que le directeur du HRL, Nathaniel Raymond, a faites lors de ses apparitions dans les médias.
Dans une interview avec Loffredo, Nathaniel Raymond a contredit les allégations qu’il avait faites à CNN au sujet d’une « prise d’otages » massive en cours en Russie, reconnaissant que la plupart des camps sur lesquels il avait fait des recherches étaient des programmes culturels façon « nounours ». Il a également révélé sa collaboration avec les services de renseignement des États-Unis.
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