Les autorités israéliennes ont présenté la cinquième place de leur pays à l’Eurovision comme la preuve d’un soutien mondial discret de la population à leur attaque contre Gaza. Aujourd’hui, ils admettent avoir manipulé les résultats par le biais d’une campagne de propagande internationale.
The Grayzone a obtenu un dossier détaillant l’identité des sionistes qui ont agressé les manifestants étudiants anti-génocide de l’UCLA. Ce dossier a été transmis à la police de Los Angeles, mais aucune arrestation n’a eu lieu. Et les policiers ne peuvent toujours pas expliquer pourquoi ils ont disparu pendant l’attaque de cette bande de voyous, des heures durant.
Rebecca Weiner est une professeure de l’université de Columbia qui occupe également le poste de directrice du renseignement au sein du département de la Police de New York. Le maire Eric Adams lui attribue :
Les médias occidentaux ont présenté un rapport de l’ONU comme la preuve que le Hamas avait agressé sexuellement des Israéliennes. Pourtant, les auteurs du document ont admis qu’ils n’avaient pas pu localiser une seule victime, ont suggéré que les responsables israéliens avaient mis en scène un viol et ont dénoncé des « interprétations médico-légales inexactes ».
Le journaliste à l’origine d’une enquête discréditée du New York Times, qui prétendait que le Hamas se livrait à des violences sexuelles systématiques le 7 octobre, apparaîtra aux côtés d’Hillary Clinton et des principaux responsables de la politique étrangère de Joe Biden, lors d’un événement organisé à l’université de Columbia pour justifier l’assaut d’Israël sur Gaza.
Dans une attaque remplie de contre-vérités, Elizabeth Dwoskin du Washington Post, ardemment pro-israélienne, a dénigré le reportage factuel de The Grayzone en s’appuyant sur des « recherches » effectuées par un organisme infesté de barbouzes et étroitement lié à l’Anti-Defamation League.
Elizabeth Dwoskin s’est également appuyée sur un ancien des forces spéciales israéliennes à la tête d’une campagne « Dôme de fer numérique » visant à censurer les critiques formulées sur les réseaux sociaux à l’encontre de l’assaut israélien contre Gaza.
Une mère israélienne indignée a déclenché un tollé après avoir accusé l’armée israélienne d’avoir délibérément gazé son fils à mort alors qu’il était détenu dans un tunnel de Gaza. Elle affirme aujourd’hui que l’armée a fait enlever la pierre tombale de son fils après que son message critique est devenu viral.
Son meurtre fait suite à une série d’attaques de l’armée contre des captifs israéliens à Gaza, ce qui soulève des questions quant à l’existence d’une politique de tirs amis visant à empêcher les échanges de prisonniers.
Une note expliquant la rétractation de l’affirmation selon laquelle les militants du Hamas avaient des ordres précis quant à « quel commandant devait violer quelle soldate » indique que la publication s’est censurée à la demande du gouvernement israélien.
Une Israélienne dont les membres de la famille étaient détenus par des militants palestiniens évoque les morts par tirs amis et déplore : « Nous avions l’habitude de penser que l’IDF1 savait ce qu’elle faisait. » Pendant ce temps, des otages libérés décrivent les « horribles traumatismes de la captivité » causés par les bombardements israéliens.
De nouvelles révélations viennent s’ajouter au flot croissant de preuves indiquant que beaucoup d’Israéliens tués le 7 octobre l’ont été par leur propre armée. Pendant ce temps, le gouvernement de Tel-Aviv a muselé les captifs libérés de Gaza pour éviter de nuire davantage au narratif officiel.
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