Dans le cadre d’une enquête inédite, l’anthropologue de renom Orisanmi Burton a levé le voile sur un chapitre sombre de l’histoire de la CIA. Des dossiers classifiés de l’Agence, récemment obtenus grâce aux lois sur la liberté d’information, révèlent des liens choquants entre l’infâme programme MK-Ultra et des expériences cauchemardesques menées sur des prisonniers de couleur aux États-Unis.
Au cours de la deuxième semaine de mars, des milliers de personnes sont descendues dans les rues de Tbilissi, en Géorgie, pour manifester leur indignation face à un projet de loi exigeant que toute ONG opérant dans le pays et tirant plus de 20 % de ses revenus de l’étranger s’enregistre en tant qu’« agent de l’étranger ».
Des dossiers divulgués, qui ont été examinés par MintPress, révèlent comment les services de renseignement du monde entier peuvent suivre les transactions en cryptomonnaies jusqu’à leur source et donc identifier les utilisateurs en surveillant les mouvements des smartphones et des appareils de l’Internet des objets (IdO), comme Amazon Echo. Le contenu des documents fait voler en éclats le mythe de l’anonymat des cryptomonnaies et a de graves implications pour les individus et les États qui cherchent à protéger leur activité financière des regards indiscrets de gouvernements et d’autorités hostiles.
Les professeurs Benny Morris, de l’Université Ben Gourion, et Benjamin Z. Kedar, de l’Université hébraïque de Jérusalem, ont produit un article extraordinaire, basé sur une multitude de documents d’archives, qui révèle avec des détails choquants les dimensions jusqu’ici occultées d’une opération menée par les forces sionistes pour utiliser des armes chimiques et biologiques à la fois contre les armées arabes envahissantes et les civils locaux, pendant la guerre de 1948.
Aujourd’hui, nombreux sont ceux qui connaissent le projet MK-Ultra. Pendant des décennies, la CIA a mené des expériences très peu éthiques sur des êtres humains afin de perfectionner les techniques de lavage de cerveau, de contrôle de l’esprit et de torture.
L’annonce par Israël qu’il ne poursuivra pas l’enquête sur l’assassinat de la célèbre journaliste d’Al Jazeera Shireen Abu Akleh n’est pas surprenante. Une chose est sûre : il est très improbable que le meurtre d’une journaliste comme Shireen Abu Akleh soit la décision d’un soldat isolé ou d’un commandant sur le terrain.
« La censure est le dernier recours des régimes désespérés et impopulaires. Elle apparaît comme par magie pour faire disparaître une crise. Elle réconforte les puissants avec le récit qu’ils veulent entendre, un récit qui leur est renvoyé par les courtisans des médias, des agences gouvernementales, des groupes de réflexion et des universités. » — Chris Hedges
Kit Klarenberg enquête sur les liens troublants entre le programme de torture clandestin de la CIA à Guantanamo Bay et les expériences de contrôle de l’esprit de l’époque MK-Ultra.
Des témoignages recueillis à propos de la prison de torture du SBU ukrainien révèlent le complot de Zelensky visant à assassiner Anatoly Shariy, figure de l’opposition en exil et journaliste de premier plan.
Dan Cohen révèle le réseau de stratèges étrangers, de lobbyistes de Washington DC et de médias liés aux services de renseignement qui se cachent derrière le blitz de relations publiques pour l’Ukraine.
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