La population russe a donné carte blanche au Kremlin pour exercer une punition brutale et maximale — où et quand il le faut.
Cochav Elkayam-Levy, l’avocate israélienne au centre de la campagne accusant le Hamas de violences sexuelles systématiques le 7 octobre, est maintenant elle-même accusée par les médias israéliens d’escroquer les donateurs et de diffuser de fausses informations. Les allégations sont apparues quelques jours seulement après qu’Elkayam-Levy a reçu le prestigieux prix Israël.
Terminé le jeu dans l’ombre. Ça se passe maintenant au grand jour. Tous les coups sont permis.
Les allégations douteuses de viol par Tel-Aviv à l’encontre du Hamas dissimulent la crise choquante de la violence sexuelle en Israël, où 260 femmes et mineures israéliennes sont violées chaque jour.
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Concernant les viols lors de l’attaque du Hamas le 7 octobre, l’une des premières preuves avancées a été la vidéo du corps d’une femme en robe noire, identifiée par la suite comme étant Gal Abdush.
Les médias occidentaux ont présenté un rapport de l’ONU comme la preuve que le Hamas avait agressé sexuellement des Israéliennes. Pourtant, les auteurs du document ont admis qu’ils n’avaient pas pu localiser une seule victime, ont suggéré que les responsables israéliens avaient mis en scène un viol et ont dénoncé des « interprétations médico-légales inexactes ».
The Grayzone a obtenu les slides d’une présentation confidentielle du lobby israélien basée sur les données du sondeur d’opinion républicain, Frank Luntz. Les documents contiennent des sujets de discussion pour les politiciens et les personnalités publiques qui cherchent à justifier l’assaut d’Israël sur la bande de Gaza.
150 jours de génocide. 150 jours de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité qui s’enchaînent à une vitesse telle qu’on pourrait presque passer à côté. Pourtant, nombre de ces crimes mériteraient de faire la une des journaux pendant des jours, si ce n’est des semaines. Au lieu de ça, les médias occidentaux n’en ont pas parlé, ou à peine. C’est la raison qui nous pousse aujourd’hui à (re)mettre en lumière sept d’entre eux. Sept crimes qui reflètent le degré d’inhumanité inouï atteint durant cette guerre. Sept crimes qu’il ne faudra jamais oublier.
L’UNRWA a obtenu « des témoignages de détenus qui ont dit avoir été battus, déshabillés, volés, avoir eu les yeux bandés, avoir subi des abus sexuels » par les forces israéliennes.
Les tortures et les mauvais traitements infligés par Israël aux Palestiniens peuvent être comparés aux tactiques employées par les États-Unis pendant l’occupation de l’Irak ; un examen plus approfondi révèle leurs origines distinctes, enracinées dans l’entité sioniste.
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